jeudi 5 avril 2007

les super héros

les super héros son des hommes qui ont des super pouvoirs qui les utilise sinrtein pour le bien et d'autres pour le mal prener par exemple les supers nana ce sont de petite fille qui ont de super pouvoirs il ont était créé par un prof de je sais pas quoi pour utilisé leur pouvoirs ^pour le bien et non pour le mal comme par éxemple bonj avant ca voici la vie du film:

Bob est M. Indestructible, un héros portant bien son nom, mariée à Hélène, la flexible Elastigirl. Comme bon nombre de héros, tel Frozone, il protège l’innocent et lutte contre les super vilains empoisonnant la ville. Seulement voilà : un jour, Bob sauve un homme essayant de se suicider, le blessant dans l’action. Ce dernier porte plainte contre M. Indestructible. Qui plus est, notre sémillant héros a eu le malheur de causer un accident de train, d’où de nouveaux procès. Suite à cela, le gouvernement prend des mesures draconiennes, et décide de mettre les super héros hors là loi. Mis hors la loi, ils reprennent une vie normale : Bob devient courtier en assurance, à son grand désespoir, tandis que Hélène se fait femme au foyer et s’occupe de leurs enfants. La famille s’est agrandie avec Jack-Jack, le bébé, Flèche, possédant le pouvoir de super-vitesse, et Violette, pouvant devenir invisible et générer des champs de force.

Premier coup d’œil au film et première constatation : Les Indestructibles s’inscrit comme un film truffé de référence à la culture populaire. Aux comics, bien sûr, mais aussi aux films de James Bond, aux Thunderbirds, ou encore aux derniers succès cinématographiques…
Concernant les comics, la famille de héros s’inspire de manière assez transparente des 4 Fantastiques, comics créé par la Marvel en 1961 et mettant en scène une famille de héros : Bob a le pouvoir de force et d’invincibilité de la chose, Violette de l’Invisible, et Hélène de Mr Fantastique. Flèche évoque pour sa part Kid Flash, le jeune adjoint du super héros Flash de DC comics. Quant à Violette, elle rappelle, et pas qu’un peu, le personnage de Malicia dans les X-Men, pour son côté mal dans sa peau et novice dans l’utilisation de ses pouvoirs… Par ailleurs, le film s’inscrit dans un genre récent du comics, inspiré par des titres comme Astro City ou encore Powers : ces comics mettent en scène une ville dans laquelle les héros sont nombreux et incarnent des figures d’autorité fortes, mais qui cachent en fait des secrets plus ou moins avouables et souffrent parfois comme n’importe quel être humain. De même retrouve-t-on une certaine violence et cynisme dans le film, inspirées par des titres récents comme Authority (DC) ou Ultimates (Marvel). Enfin, l’idée du gouvernement d’interdire l’existence des super héros est à l’origine de titres comme Batman – The dark knight returns ou encore DC – The new frontier. Le film se permet même des clins d’oeils appuyés à Spider-Man et X-Men (citons la découverte de l’ordinateur de Syndrome par Bob, identique à celle de Cerebro dans X-Men, ou encore le sauvetage du train, rappelant beaucoup Spider-Man 2). Si le film s’inscrit bien dans un genre super héroïque référencé, il ne faut pas non plus en oublier qu’il s’inspire beaucoup des films de James Bond. Ainsi, toutes les scènes sur l’île sont truffées de clins d’œil aux films de l’agent 007 (avec des musiques “ évoquant ” John BARRY) ou aux Thunderbirds (impression renforcée par l’aspect parfois “ marionnette ” des personnages).
Car, au-delà d’un pur délire d’un fan de BD, Les Indestructibles se pose comme une œuvre nostalgique : la technologie utilisée est celle d’aujourd’hui, mais les décors et la façon de s’habiller rappelle celle des années 60 : la American way’s of life, époque bénie pendant laquelle l’économie ne connaissait aucun obstacle et où la société se modernisait à grand pas. N’en concluons pas pour autant que le film soit passéiste. Une certaine violence, présente notamment sur la fin du film, montre des auteurs se posent des questions quant à cette représentation surannée du super héros. On pourra d’ailleurs s’étonner de voir, dans un film pensé pour les plus jeunes, des scènes de destructions en pleine ville. Comme si le 11 septembre se devait de figurer dans une nouvelle mythologie hollywoodienne ?
Pixar et Disney oblige, le film reste néanmoins parcouru par un humour incessant. Si les gags ne sont pas tous hilarants, ils ont le mérite d’être de bon goût et de ne jamais interférer avec le déroulement du film. Cette coexistence parfaite entre humour et sérieux fait d’ailleurs beaucoup pour la qualité du film.
aprés tout cela voici le méchant:et aprés voila les gentil:et leur bébé:

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